Tutoriel Cinema 4D : Animer une division cellulaire



Bonjour à tous.

Aujourd'hui, je vous propose d'apprendre à faire quelque chose de très simple dans Cinema 4d : animer une division cellulaire.

Dans ce tutoriel, je vais vous montrer comment modéliser et texturer une cellule. Puis nous verrons comment l'animer pour reproduire une division cellulaire, avec notamment la membrane qui s'étire avant de se scinder en deux.



Days of futur past - 1ere adaptation



Cette semaine sort sur les écrans X-Men, days of the futur past, projet monumental qui vise à réunir dans un seul et même film deux générations de super-héros de l'écurie Marvel (on parle de 20 super-héros).

L'intrigue suit les mutants de la première trilogie, dans un futur apocalyptique, qui envoient un des leurs dans le passé. En effet, une guerre entre humains et mutants a éclaté, et les mutants, à bout de force, voient leurs semblables être décimés un à un. Le professeur X choisit alors Wolverine pour effectuer le saut temporel.

Le scénario suit l'arc narratif écrit par Chris Claremont et John Byrne, sauf que dans le comic, c'était Kitty qui voyageait dans le temps.


Godzilla, la première version américaine



Cette semaine sort Godzilla, de Gareth Edwards, sorte de reboot de la célèbre franchise nippone. Après la version de Roland Emmerich (succès en salle, mais vivement critiquée par les fans et la Toho, studio japonais à l'origine du monstre), que nous réserve cette nouvelle version américaine?
En effet, si on se souvient de la version de Roland Emmerich produite par Hollywood (1998), on se souvient moins qu'Hollywood avait tenté d'"américaniser" la version originale de 1954 (déjà!).

Petit retour en arrière.

En 1954 sortait Godzilla, de Ishirõ Honda produit par la Toho. Dans ce film, les japonais voyaient débarquer sur leurs côtes un gigantesque lézard issu des bombardements atomiques d'Hiroshima et de Nagasaki.

affiche originale japonaise

Le constat est simple : moins d'une décennie après les bombardements atomiques, les japonais cristallisaient leur peur du nucléaire à travers ce kaiju, qui symbolisait aussi la nature en colère. Le film fut un fort succès critique et public, au point qu'Hollywood souhaita le diffuser aux USA. Sauf que...

Les heros anonymes



Il existe au cinéma une convention qui dit que pour identifier un personnage, il faut lui donner (entre autres) un nom.

Or, il existe quelques films où le personnage principale est anonyme. Son nom n'est jamais prononcé, ni par lui, ni par une autre personne. Et cet anonymat confère souvent au personnage une force supplémentaire. En effet, en entourant de mystère l'identité d'un personnage, il est assez fréquent que le-dit personnage prenne de l'épaisseur, comme si l'anonymat lui conférait une dimension psychologique en plus.

Ou alors, il s'agit d'identifier un personnage par sa fonction (le policier, le voleur, le prête... ). C'est comme si un nom impliquait des connotations (origine, rang social, époque... ) qui nuisaient au personnage.

Petit tour d'horizon.


Fight club
Edward Norton est tour à tour "l'homme" ou "le narrateur" mais son nom reste inconnu. Dans la voix off, il s'appelle Jack, sans qu'on sache si c'est son prénom ou un nom générique pour un individu. Son alter égo est nommé Tyler Durdun.